• NOM : Osalis
• PRÉNOM : Noan
• GENRE : Féminin
• ÂGE : 22 ans
• RACE : Humaine
• CLASSE & MÉTIER : Mage / Troubadour
• MAGIE OU TECHNOLOGIE : Magie du feu
• STATUT MARITAL : Célibataire
• SITUATION FINANCIÈRE : Nourrie et logée au château du roi de Tarance, Noan n'a aucuns soucis financiers. Elle a ainsi quelques économies personnelles qu'elle ne touche que si cela est strictement nécessaire.
• ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle
• AVATAR : L'avatar prédéfini du personnage ^^

Du haut de ses vingt deux ans, Noan a encore une innocence enfantine assez particulière: elle ose dire ce qu'elle pense, sans craindre les conséquences et manque cruellement de tact et de douceur lorsqu'il s'agit de dire à quelqu'un qu'elle ne l'apprécie ni de près, ni de loin. Malgré cela, la jeune femme est de très bonne compagnie, pleine d'humour et d'entrain, elle adresse la parole à tout le monde et n'hésite pas à aider lorsqu'elle s'en sait capable. Ceux qui la connaissent l'apprécient pour sa franchise et ses histoires humoristiques, toujours cocasses et originales.
Mais, derrière ce joli minois, à la fois agréable à regarder qu'à fréquenter, Noan a un fort caractère, c'est un être entier. Elle prend du temps avant de faire pleinement confiance, mais une fois celle-ci donnée, elle n'y revient pas. C'est une jeune fille de parole, aux principes claires et qui a envie de vivre sa vie, libre et à l'aise, où qu'elle soit. Noan ne se laisse ainsi pas faire, mais ne fait et ne dit jamais rien de blessant si elle ne le voit pas comme nécessaire.

La jeune femme mesure 1m70, svelte, les muscles finement dessinés, sans être réellement apparents. Elle se déplace avec la souplesse d'un chat, se déhanchant sans exagération, ses longs cheveux bruns ondulant au rythme du vent qu'elle déplace et les msucles de ses mollets se contractant de façon tout à fait ordinaire à chaque pas. Tout ses gestes inspirent la sympathie et la force d'âme faisant son charme.
Son visage, fin, ovale, est généralement tiré par un sourire joyeux, les coins de ses lèvres fines révélant de petites fossettes dans ses joues. Un peu plus haut, deux yeux en amande, d'un vert profond et lumineux ressortent grâce à la couleur mate et le grain serré de sa peau.
Noan n'aime guère porter des vêtements encombrants et favorise donc peu de tissus et légers, afin de pouvoir réaliser ses acrobaties sans gêne et de façon toujours plus souple et aérienne. D'ailleurs, lorsqu'elle donne ses représentations, elle se couvre de peintures bleues, sur le visage et les bras, la rendant reconnaissable une fois sur la scène.

Noan Osalis est née au Printemps, il y a de cela vingt deux ans. Ses parents, aussi bronzés qu'elle, faisaient partit d'un cirque déambulant sans cesse à travers le pays, ne faisant qu'une pause chaque année qui ne durait pas plus d'un mois. Les parents de ses parents et les parents de ceux-ci, faisaient eux aussi partit de cette troupe d'amuseurs et de magiciens. Le père de Noan, l'un des meilleurs acrobate, lui apprit très tôt à travailler sa souplesse et les mouvements de son corps. Ses premières huit années, furent donc réservées aux jeux de l'enfance et de l'insouciance, ainsi qu'au travail régulier de quelques mouvements simples mais efficaces.
C'est dans l'année de ses neuf ans que son caractère s'affirma et que ses goûts se prononcèrent. Elle volait parfois la vedette aux clowns lorsqu'il s'agissait de montrer aux passants un avant-goût de ce qu'ils pouvaient trouver dans le chapiteau. Tantôt, elle racontait des histoires, butant sur quelques mots compliqués, tantôt, elle faisait la roue et des galipettes un peu maladroites, mais qui attendrissaient et faisait rire les spectateurs de la rue. Bien que ce fut une enfant très amicale et sociable, son franc parlé lui valut quelques ennemis de son âge et des colères grondantes de ses parents, gênés de ce qu'elle avait pu dire à leur collègues.
Bien vite, Noan se trouva passionnée par la magie. Cela, lorsque la troupe passa par la grande ville de Tarance y faisant son arrêt annuel. Elle eu tout le loisir d'observer, chaque jours, la grande université, le regard perdu dans des rêves enfantins, mais qui s’avéreraient sincères avec le temps.

Lorsque la jeune Noan atteignit l'âge de douze ans, elle était une parfaite jeune acrobate, participant à présent à quelques représentations. Elle aidait activement le cirque, tout en rêvant à ce qu'elle aurait pu faire si elle connaissait la magie. Ce rêve éveillé finit par la troubler et elle devint vite boudeuse et capricieuse, exigeant de devenir Mage. Sa mère, plus compréhensive que son père, finit par mettre celui-ci d'accord, qui finalement exaspéré par la coalition des deux femmes de sa vie, accepta de trouver un maître à son enfant.
L'occasion d'en trouver un ne se fit pas attendre, car le cirque repassa par Tarance. Noan y resta alors, sous la surveillance d'un maître du feu. De ses treize ans à ses dix-neuf ans, la jeune fille apprit l'art de la Magie, le contrôle du Feu, sans jamais mettre de côté les figures apprises par son père et par le temps de travail au cirque. Elle voyait ses parents, de façon assez irrégulière, lorsqu'ils revenaient à la ville.

Un nouveau rêve se dessina dans l'esprit de la demoiselle. Un rêve né de façon assez hasardeuse, alors que son maître et elle furent invités à une représentation des troubadours du roi. Elle avait finit par se décider. Elle souhaitait à tout prix faire partit de ce groupe d'élite restreint. Malgré les conseils de son maître, qui souhaitait voir son élève prendre sa relève un jour, elle tenta deux fois d'entrer dans le groupe des troubadours. Ce ne fut que lors de la troisième fois, à ses vingt ans, qu'elle parvint enfin à devenir officiellement troubadour du roi de Tarance. Elle se fit sa place aisément et devint un nom important du cercle des troubadours.